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1960 - 1970

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LES NOUVELLES VAGUES

La Nouvelle Vague française:

Il souffle à l’orée des années 60 un vent nouveau sur le cinéma français avec l’arrivée de jeunes cinéastes qui entendent bien en finir avec le cinéma « académique ». Ils vont y apporter une fraicheur salvatrice dans la façon de concevoir un film et plus encore dans une liberté de ton inédite.

Quelques films emblématiques de cette période: , Le Beau Serge (Claude Chabrol), A bout de souffle (Jean-Luc Godard), Cléo de 5 à 7 (Agnès Varda), Tirez sur le pianiste (François Truffaut).

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La contre-culture américaine:

Influencé par un cinéma européen révolutionnaire, Hollywood prend « La Vague ». La première salve est amorcée avec Alfred Hitchcock (Psychose), Stanley Kubrick (Lolita) ou encore John Schlesinger (Macadam Cowboy). La guerre du Viêt Nam sonne la « fin de l’innocence » et l’arrivée d’une contre-culture plébiscitée par les nouvelles générations. Bonnie & Clyde (Arthur Penn) sera le premier véritable séisme représenté par cette Nouvelle Vague à l’américaine, un film où la morale n’a pas sa place et où la violence, choquante, résonnent tous deux avec la triste actualité du pays au Viêt Nam. En 1969, la jeunesse trouve son film-étendard avec le Easy Rider de Dennis Hopper, road-movie hippie dans une Amérique fissurée en deux.

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Sergio Leone:

Avec sa trilogie du dollar (Pour une poignée de dollars ; Et pour quelques dollars de plus ; Le bon, la brute et le truand), le cinéaste italien marque de son empreinte le western et le cinéma en général et faisant par la même occasion de Clint Eastwood une icône. Leone va révolutionner esthétiquement le western et ainsi le dépoussiérer. Sa manière de jouer sur l’attente lors des duels (à la façon des films de sabres japonais) avant que la détonation ne résonne ainsi que ses très gros plans sur les yeux de ses personnages seront sa marque de fabrique et définiront son style, identifiable instantanément. Mais la force de son cinéma ne serait pas complétement ce qu’elle est sans la contribution de son fidèle compositeur Ennio Morricone tant l’univers sonore de ce dernier s’associe parfaitement avec la mise en scène du premier.

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